17 octobre 2016
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La Muse et la mer
Le vent caresse son visage,
Au regard lumineux,
Face au soleil affectueux.
Au regard lumineux,
Face au soleil affectueux.
L'écume des embruns glisse
Sur sa crinière soyeuse,
Au bord des rochers ocres.
Sur sa crinière soyeuse,
Au bord des rochers ocres.
La lumière danse de joie
Sur ses épaules dénudées,
De sa robe élégante.
Sur ses épaules dénudées,
De sa robe élégante.
Ses cheveux noirs ondulent
Le long de son dos,
Comme un voilier au large.
Le long de son dos,
Comme un voilier au large.
Ses joues rondes rougissent
Avec un sourire épanoui,
Sous les rayons du soleil.
Avec un sourire épanoui,
Sous les rayons du soleil.
Son cou affiné se dresse
Au milieu du silence,
Qui inspire sa méditation.
Au milieu du silence,
Qui inspire sa méditation.
Son cœur brûle d'amour
Pour cette mer douce,
Qui s'étend à l'infini.
Pour cette mer douce,
Qui s'étend à l'infini.
Ses yeux marrons observent
Les moutons blancs,
Qui flottent sur l'eau bleue.
Les moutons blancs,
Qui flottent sur l'eau bleue.
Sa chevelure plane
A l'image de l'oiseau,
Qui vole vers l'horizon.
A l'image de l'oiseau,
Qui vole vers l'horizon.
Ses pensées du jour
Écoutent religieusement
Les bruits de la mer.
Écoutent religieusement
Les bruits de la mer.
Ses narines respirent
L'odeur printanière,
Des parfums de la nature.
L'odeur printanière,
Des parfums de la nature.
Son souffle se libère
Au milieu de ce paysage,
D'une grande beauté.
Au milieu de ce paysage,
D'une grande beauté.
PG 16 octobre 2016